Lundi 15 Octobre Départ

Départ de Roissy vers Francfort sur Air France
Puis Francfort vers Windhoek sur Air Namibia à 20h10 pour la nuit dans l'avion
Arrivée prévue à 6h20

Mardi 16 Octobre Windoek

Arrivée à l’heure à Windhoek, prise en en main du petit 4*4 Terios, en avant pour l’aventure, conduite à gauche dans une grande ville
Visite du centre, moderne, propre, beaucoup de centres commerciaux récents
C’est le printemps, les arbres sont en fleur, dont le jacaranda très bleu et très odorant
les arbres en fleur, le jacaranda à fleurs bleues


Morceaux de météorite vieux de 600 000 ans

Après-midi, visite guidée in english du township de Windhoek, plusieurs niveaux de propreté et de misère. L’apartheid amené par l’Afrique du Sud est en théorie (seulement en théorie  terminée depuis 1978. La Namibie sous influence de l’Allemagne puis de l’Afrique du Sud est indépendante depuis 1999, c’est vraiment très récent.

Township de Windhoek (Kakutura)


très jolies et très souriantes habitantes du township

Eric a trouvé sa bière locale

Retour à l’hôtel, 
bonne bière bien fraîche,
la bière sera seulement pour le soir, taux d'alcoolémie pour la conduite,autorisé à 0% et ça ne rigole pas

dîner et gros dodo

Mercredi 17 octobre Windhoek-Sesriem

Après un petit dej très matinal et pantagruélique, nous voilà partis pour notre 1ère étape.

370 km pour rejoindre le début du désert de dunes, 100 km de routes goudronnées puis 270km de piste.
Dés la sortie de Windoek, c’est la brousse, pas de banlieue, pas de ville, que de la brousse, seules quelques fermes très isolées pour l’élevage des moutons et des vaches qui ont bien de la place pour brouter, mais le peu d’herbe est totalement sec.
Nous apercevons nos premiers animaux sauvages : autruches, springboks, Orryx et 1 singe
Les paysages gigantesques et désertiques nous rappellent un peu l’altiplano au Pérou, mais il fait beaucoup plus chaud.
La piste est très large, roulante, très poussiéreuse, mais attention au dessus de 60 km/h, ça dérape tout seul.

Pic nic  dans la brousse





















Premier picnic dans le désert de Namib, mais attention, tout y est, le pneu de rechange en guise de table, le siège pliant, amené de Séresville, pour Eric, et la nappe pour faire joli par terre. Au menu : sandwich avec tomates, chédar, mayo et œufs durs cuits la veille dans la bouilloire de la chambre d’hôtel. Mais Eric a quand même trouvé à râler : un Pic nic (même savamment préparé) reste toujours un Pic nic

Orryx

Sprinboks

















Le paysage est de plus en plus désertique, nous arrivons en milieu d'après midi au lodge où nous profitons de la piscine mais nous apprenons par un appel sur mon portable que le premier vol du retour Victoria falls/Windoek est annulé, cela nous occupe bien pour le reste de la journée, heureusement, nous avons le wifi, ça a l'air de s'arranger, mais nous ne rentrerons que le samedi soir 3 au plus tôt, au lieu du vendredi midi
suite au prochain numéro surtout pour Roselyne/Laurent, nos taxi drivers au retour

Jeudi 18 Octobre les dunes de Sossusvlei

Magnifique vue sur la brousse du lodge, nous sommes en plein dans Out of Africa

Out of Africa
Lever à 5h, nous partons dans la nuit pour arriver au lever de soleil à la porte du parc, il reste encore 60 km pour arriver au milieu des dunes qui sont dans le brouillard !!!!
Il faut attendre une petite heure pour que tout s’éclaircisse et que voyions enfin la beauté du paysage.
Nous sommes montés par la crête sur une dune qui surplomble Deadvlei, un très ancien lac asséché où ne reste que des arbres morts.
Nous prenons le petit dej que nous a préparé le lodge assis en haut de la dune, c’est splendide.
La dune est très vite descendue et nous allons gravie celle de sossusvlei, toujours par la crête. Du haut, nous apercevons le panorama de dunes aux alentours, il est presque midi, il commence à faire chaud mais nous sommes seuls sur la dune.
Nous revenons à la voiture, petit pique nique traditionnel et repartons, la route à travers les dunes est superbe, à l’aller, nous n’avions rien vu avec le brouillard.
Nous nous arrêtons à la dune 45 (KM 45 dont le nom de la dune), nous essayons de la gravir par 2 faces, mais nous abandonnons, trop de vent et surtout la fatigue commence à se faire sentir, nous avons marché et grimpé plus de 5h dans le sable.
Nous rentrons au lodge pour une douche bien méritée
Pas de nouvelles d’Air Namibia pour nos vols retour, on commence à s’inquiéter

Deadlvei

les plantes dans les dunes




















nous avons vaincu la dune 
Eric en équilibriste sur la crête de la dune

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Vendredi 19 Octobre Sesriem / Swakopmund


dans l'hémisphère sud, le passage du Tropique du Capricorne
Nous quittons les dunes pour rejoindre Swakopmund sur la côte.à quelques 400 km.
De la savane, de la savane, de la savane, sur la piste, nous avons croisé 2 voitures sur 100km.
Heureusement, quelques amusements ici ou là : des autruches qui traversent la piste devant nous, un couple d’otocyons (renards à oreilles de chauves souris) également, des oryx et des springboks et le passage du tropique du Capricorne.
En prenant un raccourci, nous trouvons un point d’eau pour les animaux avec un observatoire, les animaux se sont tous enfuis à notre arrivée, mais nous nous sommes installés pour pique niquer dans l’observatoire et petit à petit, ils sont revenus, d’abord une ou 2 autruches puis une douzaine, les springboks, les phacochères, … et sont arrivés un  bus et une voiture et ils sont tous partis et nous aussi.



De la savane, nous sommes passés au désert, un vrai désert, c’était hallucinant, des paysages lunaires incroyables.
Puis, la vallée des Welwitchias, plantes fossiles millénaires, certaines ont plus de 1000 ans, ça ressemble à des cactus à moitié crevés.

la course des autruches

un otocyon (renard à oreilles de chauves souris)
une Welwitchia, plante fossile, qui a 1500 ans !


Paysages lunaires
Nous arrivons à Swakopmund en fin d’après midi.
Air Namibia nous a répondu, tout s’arrange, les vols sont réservés pour le lendemain, ainsi qu’un hôtel (4 étoiles) à Victoria falls pour la nuit suppléméntaire.
En principe, nous devrions arriver à la même heure mais le samedi au lieu du vendredi.
Petite viste rapide de la ville, dîner en ville

Samedi 20 Octobre Swakopmund

Swakkopmund est la ville balnéaire de Namibie au bord de l’océan, complètement entourée de désert, les dunes encerclent la ville et débordent sur la route. On y parle beaucoup plus allemand qu’anglais, les restes de la colonisation, les blancs sont bien blonds avec les yeux bien bleus (tiens, ça rappelle quelque chose). La ville ressemble à Disney avec les maisons de poupées colorées, des petites tours avec clochers. Il fait très frais, le contraste entre la chaleur du désert et la température de l’océan très froid (l’eau est entre 13 et 15°), provoque du brouillard le matin et de la brume pour le reste de la journée. Le centre ville est très agréable et le bord de mer très joli, avec l’océan qui remue beaucoup. La côte de sable est très inhospitalière, les ports sont difficiles à bâtir, à Swakopmund, il ne reste que la jetée, le seul port de la cote (plus de 1000km) a du être construit à 30km au Sud, à Valvis Bay, appuyé sur une lagune où vivent des milliers de flamants roses.
Sur la côte, il reste quelques épaves de bateau qui se sont échoués et qui sont maintenant ensablés à une centaine de mètres du rivage, le désert avance sur l’océan.
le phare, emblème de Swakopmund

les enfants osent mettre les pids dans l'eau à 13°

les flamants roses dans la lagune de Valvis Bay
le township de Swakopmund, carrément dans le sable
Le matin, nous remplissons le panier de pique nique et faisons du change pour le reste du parcours, un petit tour à Valvis Bay pour admirer les flamingos, pique nique rapide dans le jardin de l’hôtel et nous voilà partis pour 2h dans un petit Cesna (5 passagers et le pilote) pour le survol du désert et de la côte. Nous allons jusqu’à Sossusvlei (600km A/R) pour survoler les dunes rouges et nous repérons vite celles que nous avons vaillamment escaladées par la crête. Très beau spectacle des dunes vues du ciel. Puis cap vers la côte où nous apercevons une épave ensablée. Avant d’atterrir, nous survolons le township de Swakopmund, qui lui n’est pas fait de maisons de poupées mais est carrément dans le désert et dans le sable.
le cesna pour la survol du désert de dunes

la vallée de Kuiseb qui délimite le désert

vue sur les dunes

la dune de Sossusvlei que nous avons grai par la crête







































Resto dans un ancien bateau, très prisé, il a fallu réservé la veille, et excellent : soupe de poissons, poisson local pour Dominique, steak énorme d’oryx pour Eric, le tout arrosé de vin blanc sud africain et en prime, coucher de soleil sur l’océan.

l'épave ensablée

Dimanche 21 Octobre Swakopmund / Palmwag

Nous quittons Swakopmund dans le brouillard pour une longue étape (460 km) vers le Nord, le long de la côte sur plus de 300km avant de rentrer dans les terres. Le soleil met du temps avant de percer.
Incroyable, c’est un désert plat sans rien, mais rien de rien, on distingue à peine la piste du reste. Il ne faut pas rouler trop vite, bien que nous soyons quasiment seuls sur la route, le sel recouvre la piste et c’est très glissant.
Mais ici aussi, quelques  points d’intérêt coupent ce parcours très monotone.
Peu d’animaux peuvent vivre ici, mais au bord de l’océan, une colonie de plus de 20000 phoques a élu domicile sur un petit endroit rocheux, nous les observons avec amusement, ils font un bruit d’enfer et dégagent un parfum très marqué.
Le sel est exploité et ici ou là, de petites tables au bord de la route remplies de blocs de cristaux de sel et une boîte pour laisser notre obole si nous en prenons, il n’y a personne bien sûr.
La côte est renommée pour la pêche, l’eau froide est très poissonneuse et les pêcheurs viennent de bien loin pour leur sport favori au bord de l’eau. Nous allons à leur rencontre,, les regardons faire et discutons un peu avec eux, c’est bien sympa, les poissons sont excellents nous disent-ils..
Un peu plus au Nord, il nous faut même un permis spécial pour la journée pour continuer notre route, un garde barrière vit avec sa famille dans cet endroit isolé, sa petite fille nous fait de grands sourires.
Colonie de phoques à Cap Cross

Petite fille à la barrière du parc
les pêcheurs au bord de l'océan
 C’est de plus en plus désertique, il n’y a plus âme qui vive, et bientôt plus de vie du tout, après avoir bifurqué pour l’intérieur des terres, c’est l’heure du pique nique, nous nous arrêtons, c’est plutôt flippant notre pique nique lunaire, soleil de plomb, du vent et le grondement lointain de l’océan, on s’attends à voir débarquer des extra terrestres, je pense ‘pourvu que la voiture redémarre’ ! On ne s’éternise pas, encore 90km de cette route hallucinante, nous ne croisons aucune voiture. Puis après 40km, la vie redémarre peu à peu, quelques herbes, puis une autruche, un oiseau, un oryx, et une famille de singes. Ouf, nous voici revenus sur terre.
route hallucinante le long de l'océan, rien, rien, rien

Pique nique lunaire, ça fait flipper


Après, les premières habitations d’autochtones, les Damaras.
Avant d’arriver au lodge, nous passons la barrière sanitaire, double clôture qui sépare le Nord et le Sud de la Namibie. Seul, le bétail du Sud, élevé et abattu selon les normes européennes, peut être exporté, au Sud, ce sont les éleveurs blancs, au nord, les éleveurs noirs ! Mais ce n’est pas un reste de l’aparthaid, c’est Bruxelles qui a imposé cette norme.
Nous arrivons au lodge, perdu dans la brousse vers 16h30, un peu de repos ne fera pas de mal au chauffeur.
Après un très beau coucher de soleil sur la brousse, dîner au lodge.
Maintenant nous avons pris le rythme local, nous nous couchons vers 8h30 et réveil à 6h00. Nous faisons de bonnes nuits.

Lundi 22 Octobre Palmwag / Opuwo

Nous traversons le Damaraland où vivent les tribus Damas. Cette région reste très sauvage et c’est un des seuls territoire d’Afrique où les animaux  vivent en totale liberté. Nous en croisons en effet beaucoup : nos premiers zèbres, ceux du désert (rayures beiges et noires), des koudous, des springboks, des autruches, des oryx, des pintades à tête bleue.
Puis nous arrivons dans le pays des tribus Hereros (les femmes ont des grandes coiffes de diverses formes). Et après 260 km, nous arrivons à la mi journée à Opuwo, pays des Himbas, le but de cette étape. Ce sont les tribus où les femmes s’enduisent de terre rouge mélangée à de la graisse animale.
Opuwo, petite ville où nous croisons toutes les tribus de la région : des Himbas, des Hereros, des Zembas et aussi les occidentalisés, c’est assez surprenant et dépaysant.
Un arrêt à l’hôtel pour déjeuner, prendre un bain dans la piscine à débordement avec vue sur la brousse à 180°, cela nous rafraîchit, il fait 38°.
Et l’après midi, le top du top, le meilleur depuis le début du séjour, visite privée d’un village Himba avec un guide de parents Herero et Himba. Il nous emmène au milieu de la brousse. Nous avons pu voir la vie de cette tribu, sans électricité, l’eau à 6km. Le chef de la tribu a 10 femmes et de 4 à 10 enfants avec chacune d’elle. Les femmes, à partir de la puberté, s’enduisent de rouge 2 fois par jour, ne se lavent jamais ! mais ont un système de déodorant assez singulier avec des plantes mixées sur de la braise. Une jeune femme nous en fait la démonstration. Les huttes sont très rudimentaires, une peau de cuir d’animal en guise de sommier. Il n’y a pas d’hygiène, le village est assez sale, plein de poussière et de crottes de bique. Nous échangeons avec plusieurs femmes de nos mode de vie avec le guide interprète, les Himbas sont autant intéressés de connaître notre vie que nous la leur, ils nous demandent tous si nous sommes mariés et le fait qu’un homme n’ait qu’une seule femme les sidère. Les enfants sont très peu scolarisés et c’est ce qui sauve leur mode de vie et leur culture, le gouvernement veut imposer la scolarité à tous les enfants et dès qu’ils seront scolarisés, la culture ancestrale Himba commencera à s’étioler pour disparaître, c’est ce que pense notre guide, descendant Himba, scolarisé et maintenant complètement occidentalisé.
Une danse de l’ensemble des villageois conclut cette visite extraordinaire. Au retour, nous emmenons une jeune himba enceinte qui a visiblement de pb, nous la déposons à l’hôpital, mais le guide a bien pris garde qu’elle s’entoure d’une grande étoffe, non pas pour qu’on ne la voie pas mais pour éviter qu’elle enduise de rouge tout le siège.
Retour à l’hôtel pour un dîner au bord de la piscine avec Koudou et springbok au menu.


Tribu Herero

tribu Himba
tribu Zemba





Village Himba que nous avons visité avec un guide Himba

Enfants Himba du village qui mangent du mais cuit sur un feu à terre


Femmes Himba du village

Coiffure des femmes Himba



Zèbres des montagnes

Koudou




Mardi 23 au jeudi 25 Octobre Etosha


Départ très matinal, nous avons une longue étape de 450km pour rejoindre la réserve d’Etosha.
Nous passons maintenant à la visite des réserves animalières jusqu’aux chutes Victoria. Etosha est le plus grand parc (250km de long, 23000 km², nous allons y passer 3 nuits et 2 jours entiers.
Finies les pistes, nous avons maintenant une belle route goudronnée et ça trace.
Nous arrivons au parc d’Etosha en milieu de journée.
Une compagnie de girafes nous accueillent dès notre entrée, puis c’est le grand zoo.
Nous restons 3 nuits à l’intérieur du parc dans 2 lodges différents : Okaukuejo au centre et Namutani à l’Est.
Les lodges ont un point d’eau bien aménagé et éclairé la nuit. C’est la fin de la saison sèche, il fait très chaud (plus de 40°) et les animaux recherchent le peu d’eau qu’il reste encore, beaucoup de points d’eau sont asséchés
Le matin, nous sillonnons les pistes du parc et là, c’est la piste aux étoiles : lions, guépard, lynx, éléphants, girafes, Rhinos, zèbres, antilopes en tous genres, chacals,….
Mais contrairement à ce qui est indiqué partout, nous ne voyons aucun animal le matin aux points d’eau, il faut attendre la fin de matinée et là c’est d’abord le bain des éléphants, puis l’arche de Noé, puis le bal des girafes et enfin le soir au point d’eau éclairé la ronde des rhinos.
Le bain des éléphants : nous nous sommes retrouvés au milieu d’un troupeau d’éléphants : 31 males, femelles et petits qui prenaient leur bain à tour de rôle. Nous étions très près et un mâle s’est approché à 2 m, Eric avait déjà enclenché la première pour déguerpir, mais finalement, l’éléphant s’est détourné, nous n’étions pas trop rassurés, mais c’était vraiment génial à voir.
Puis, 2 fois, nous avons vu l’arche de Noé, spectacle inoubliable, nous sommes resté un long moment à admirer la centaine d’animaux se disputaient l’approche du point d’eau, mais une certaine hiérarchie s’impose, d’abord les éléphants, d’ailleurs le 2ème jour, un éléphanteau, ‘le petit monstre’ a déménagé tous les autres animaux, il courait partout en barrissant, c’était très drôle à voir, puis les zèbres, les antilopes et enfin les gnous. Les girafes viennent à leur rythme sans s’occuper des autres, nous en avons vues une douzaine en milieu d’après-midi faire leur spectacle, elles ont bien du mal à boire.
L’après-midi, les animaux se mettre à l’ombre des petits arbres et ne bougent plus. Nous en profitons pour rentrer au lodge nous rafraîchir et nous reposer, la belle piscine à Okaukuejo est bien fréquentée. 
Le soir, au point d’eau éclairé du camp, nous assistons à la ronde des rhinos, 5 Rhinos (3noirs et 2 blancs, les cornes et la corpulence sont différents), tournent autour de la mare, nous avons tout le temps de les photographier, ils sont très lents et restent même immobiles. Ils sont accompagnés de quelques girafes et de couples de chacals qui vont et viennent.
Nous avons du voir plus d’une cinquantaine de girafes et une soixantaine d’éléphants, 9 Rhinos, 4 lionnes, 1 lion et tout le reste
Nous avons passé 3 jours fabuleux, assez fatigants, car levés tôt, 6 ou 7 h de pistes plus ou moins difficiles chaque matin et une chaleur écrasante, heureusement que nous avons la clim dans la voiture.
L' arche de Noé


les gnous dans la savane
la lionne, bien mignonne comme notre Lilo

le guépard



le lynx qui traverse devant la voiture mais disparaît aussitôt

Rhino et girafe,de nuit, au point d'eau éclairé


le bain des éléphants, ils étaient 31 , dans et autour de la mare

le petit monstre qui veut jouer au gros dur, il barrit et court partout




Oryx et springboks à l'ombre dans la chaleur torride de l'après-midi

Coucher de soleil sur la brousse à Etosha
il est strictement interdit de descendre de voiture dans le parc d'Etosha
Bon, je ne l'ai fait qu'une seule fois et seulement après la dame de devant